"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément" (Nicolas Boileau Despréaux. Quelle belle analyse tout en transparence et objectivité d'une calamité autrefois terrorisante devenue souvenir édulcoré d'un suranné. Comme on aime tenir mémoire courte, on brille aussi par ce réflexe à ne vouloir ou savoir tirer enseignement des épreuves passées. Je ne peux m'empêcher de rapprocher cet évènement COVID de la tragédie vécue par Mayotte, au lendemain du passage de Chido. Dans les 2 cas on agit rétrospectivement, ce qui est déjà positif me direz vous, mais dans les 2 cas, la prévention aurait pu AUSSI se réfléchir. Espérons que la reconstruction sur l'archipel mahorais se projette avec la perspective d'un nouveau cyclone et qu'elle soit réfléchie plus solide et moins vulnérable qu'elle ne l'était en tout état de cause et consciemment. Se tromper une fois est pardonnable, reproduire une erreur est une faute. A ce propos, que sait on aujourd'hui du plan de sauvegarde associé au risque de tsunami que pourrait provoquer le volcan sous marin détecté en 2018 au large de Petite-Terre??? Ne pas dire pour ne pas faire de vague? Faire l'autruche? N'est ce pas en contradiction avec ce que nous inculquons à nos enfants : dire la vérité ."Aime la vérité, mais pardonne l’erreur.(Voltaire). "La vérité de demain se nourrit de l’erreur d’hier." (Antoine de Saint-Exupéry). Merci Pedro pour ce partage, cette mise en visibilité sans jugement ni posture militante, juste pour maintenir en éveil et inviter au raisonnement en douce mélopée (Billie Eilish).
L’humanité a toujours été en compétition avec la Nature pour déterminer lequel des deux exterminerait le plus de monde. Il semble que l’expérimentation à laquelle nous avons participé en 2020 soit une sorte de ballon d’essai. Maintenant que le système immunitaire de millions d’individus a été fragilisé, il reste un dernier coup pouce à donner pour terminer le travail. On peut se consoler en sachant que ceux qui seront encore en vie, et qui n’auront plus rien, seront heureux. À moins que l’on ait été réduit en cendres avant. On vie une époque formidable comme disait le dessinateur Reiser.
Pour ma part, « la messe est dite »(*) et grande est ma colère contre mon monde professionnel qui a été TOUT sauf professionnel au moment où l’on en avait vraiment besoin…
Bonjour, merci pour le commentaire et le lien. Je vais regarder, nous avons un billet prévu : "Pourquoi la plupart des études publiée sont fausses". Voudriez-vous participer à sa rédaction? Amitiés. Pedro
L'effet de surprise a sidéré la planète. Il est sûr que l'on nous a pas tout dit et que la fin progressive du cauchemard a permis d'étouffer les résistences résiduelles...
Une façon de limiter les conséquences de notre mésinformation est d'abord de partager nos connaissances et les rapports scientifiques sans se laisser duper par leurs limites ou interprétations scientifiques. Que sait on par exemple de la poursuite post pandémie ou non du programme de recherche de gain de fonction (GOF) sur le SRAS-CoV-2? Dans quel(s) objectif(s) le NIH finance t il des recherches de GOF sachant que celles-ci visent des objectifs destructeurs de la population à l'échelle mondiale? Par chance, les démocraties ont la sagesse de ne confier leur devenir qu'à des êtres dotés de sagesse...
N'AYEZ PAS PEUR ! (réf. à la Bible et au discours de Jean Paul 2 lors de son discours pontifical de 1978)!
Finalement, quoiqu'il arrive, on ne meurt qu'une fois! (contrairement à ce que laisserait penser le 5ème point de ce bel exposé: "J’ai eu peur. De mourrir, de contaminer, de perdre mes proches.")
Merci M Loppe. Les études sont très difficiles à interpréter. Tout le monde en trouve une pour justifier ses idées. C’est un long processus pour que finalement une bonne approximation de la réalité en émerge.
"Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire viennent aisément" (Nicolas Boileau Despréaux. Quelle belle analyse tout en transparence et objectivité d'une calamité autrefois terrorisante devenue souvenir édulcoré d'un suranné. Comme on aime tenir mémoire courte, on brille aussi par ce réflexe à ne vouloir ou savoir tirer enseignement des épreuves passées. Je ne peux m'empêcher de rapprocher cet évènement COVID de la tragédie vécue par Mayotte, au lendemain du passage de Chido. Dans les 2 cas on agit rétrospectivement, ce qui est déjà positif me direz vous, mais dans les 2 cas, la prévention aurait pu AUSSI se réfléchir. Espérons que la reconstruction sur l'archipel mahorais se projette avec la perspective d'un nouveau cyclone et qu'elle soit réfléchie plus solide et moins vulnérable qu'elle ne l'était en tout état de cause et consciemment. Se tromper une fois est pardonnable, reproduire une erreur est une faute. A ce propos, que sait on aujourd'hui du plan de sauvegarde associé au risque de tsunami que pourrait provoquer le volcan sous marin détecté en 2018 au large de Petite-Terre??? Ne pas dire pour ne pas faire de vague? Faire l'autruche? N'est ce pas en contradiction avec ce que nous inculquons à nos enfants : dire la vérité ."Aime la vérité, mais pardonne l’erreur.(Voltaire). "La vérité de demain se nourrit de l’erreur d’hier." (Antoine de Saint-Exupéry). Merci Pedro pour ce partage, cette mise en visibilité sans jugement ni posture militante, juste pour maintenir en éveil et inviter au raisonnement en douce mélopée (Billie Eilish).
Merci Docteur. Et que Dieu (ou quiconque au-dessus de nous) vous protège.
Bonsoir Nina, merci. Je ne pense pas avoir besoin de protection. Pouvoir en parler, calmement c’est le minimum si on veut avancer.
L’humanité a toujours été en compétition avec la Nature pour déterminer lequel des deux exterminerait le plus de monde. Il semble que l’expérimentation à laquelle nous avons participé en 2020 soit une sorte de ballon d’essai. Maintenant que le système immunitaire de millions d’individus a été fragilisé, il reste un dernier coup pouce à donner pour terminer le travail. On peut se consoler en sachant que ceux qui seront encore en vie, et qui n’auront plus rien, seront heureux. À moins que l’on ait été réduit en cendres avant. On vie une époque formidable comme disait le dessinateur Reiser.
C'est effrayant
Merci M Bru. On avait promis de couper les fonds mais j’ai vu un budget pour 2023. C’est possible que ça change. On verra. Amitiés
Pour ma part, « la messe est dite »(*) et grande est ma colère contre mon monde professionnel qui a été TOUT sauf professionnel au moment où l’on en avait vraiment besoin…
(*) https://youtu.be/8j_Z3EDG-WU?si=iHYdtjD1gvLUeL7E
Bonjour, merci pour le commentaire et le lien. Je vais regarder, nous avons un billet prévu : "Pourquoi la plupart des études publiée sont fausses". Voudriez-vous participer à sa rédaction? Amitiés. Pedro
L'effet de surprise a sidéré la planète. Il est sûr que l'on nous a pas tout dit et que la fin progressive du cauchemard a permis d'étouffer les résistences résiduelles...
Une façon de limiter les conséquences de notre mésinformation est d'abord de partager nos connaissances et les rapports scientifiques sans se laisser duper par leurs limites ou interprétations scientifiques. Que sait on par exemple de la poursuite post pandémie ou non du programme de recherche de gain de fonction (GOF) sur le SRAS-CoV-2? Dans quel(s) objectif(s) le NIH finance t il des recherches de GOF sachant que celles-ci visent des objectifs destructeurs de la population à l'échelle mondiale? Par chance, les démocraties ont la sagesse de ne confier leur devenir qu'à des êtres dotés de sagesse...
N'AYEZ PAS PEUR ! (réf. à la Bible et au discours de Jean Paul 2 lors de son discours pontifical de 1978)!
Finalement, quoiqu'il arrive, on ne meurt qu'une fois! (contrairement à ce que laisserait penser le 5ème point de ce bel exposé: "J’ai eu peur. De mourrir, de contaminer, de perdre mes proches.")
Merci M Loppe. Les études sont très difficiles à interpréter. Tout le monde en trouve une pour justifier ses idées. C’est un long processus pour que finalement une bonne approximation de la réalité en émerge.