Encore un sujet qui questionne le collectif et l individuel. Et si tout simplement on se disait qu à l impossible nous ne sommes tenus, que d aucun seul peut sauver le monde, si tout simplement et positivement chacun pouvait prendre mesure de ce qu il fait à sa dimension et s en féliciter, à commencer par vous, Docteur qui m avez sortie d un mauvais pas de santé, rien que ça a de la valeur et peut donner sens à votre route ...donc....continuez, gardez foi en qui vous êtes et ce que vous accomplissez. Est-on davantage malades aujourd'hui ou beaucoup plus attentifs voire trop attentifs à notre santé...?
Merci pour ce billet qui m’a permis de relire les plus anciens. Le paradoxe de l ‘état de santé est que l’espérance de vie reste globalement stable, ce qui est trompeur, mais que l’espérance de vie en bonne santé par contre diminue laissant ainsi peser le coût de ce maintien “artificiel” en vie sur nos sociétés déjà fragilisées par une pyramide des âges qui s’inverse. Problème de natalité ou de fertilité. Sur ce dernier point, des signes alarmant semblent indiquer, particulièrement pour les sociétés occidentales, que la crainte qui a émergée dans les années 60 d’une surpopulation hors de contrôle soit grandement exagérée. Nous sommes même plutôt en train de réaliser avec effroi que c’est l’inverse, une forme d’effondrement, qui comme disait Oscar Wilde au tribunal à propos de sa ruine :
Merci M Bru, un billet sur la baisse générale de la natalité ( de la fertilité aussi ) est en gestation. Ce sont des questions inconfortables qui méritent de la nuance dans leur approche, mais aussi de l'urgence si on veut éviter la chute vertigineuse qui se profile. Aurait-on atteint "Les Limites à la croissance" ? Ceux qui se félicitent de cet état devraient se méfier des effets de 2ème et 3ème ordre qui l'accompagnent. Amitiés
Oui, « on mérite mieux » est faite pour nous les patients, en vérité nous cherchons cette approche différente…pendant ma thérapie assez lourde, traditionnelle pour un cancer du sein, je passais mon temps à explorer tout ce qui aiderait à guérir différemment. Certains médecins déplorent à juste titre que seuls les symptômes sont pris en compte pour définir une thérapie, les causes sont ignorées, le résultat est que le nombre de patients augmente…
Et puis ce témoignage d’une ostéopathe Canadienne il y’a déjà une dizaine d’années, la quarantaine, mère de 4 enfants, cancer du sein triple négatif. Elle accepte la chirurgie puis se tourne vers la thérapie du dr Gerson… dont j’ai commandé le livre de recettes ainsi que celui où il relate des cas, dossiers à l’appui. Elle se rendra sur place, à Tijuana, pour 2 semaines. Elle guérit et laisse un commentaire « guérir son cancer » . Approche différente, un reset de notre organisme..? Un grand merci pour vos lettres
Encore un sujet qui questionne le collectif et l individuel. Et si tout simplement on se disait qu à l impossible nous ne sommes tenus, que d aucun seul peut sauver le monde, si tout simplement et positivement chacun pouvait prendre mesure de ce qu il fait à sa dimension et s en féliciter, à commencer par vous, Docteur qui m avez sortie d un mauvais pas de santé, rien que ça a de la valeur et peut donner sens à votre route ...donc....continuez, gardez foi en qui vous êtes et ce que vous accomplissez. Est-on davantage malades aujourd'hui ou beaucoup plus attentifs voire trop attentifs à notre santé...?
Merci pour votre message madame Gracy. Des idées pour un prochain billet?
Merci pour ce billet qui m’a permis de relire les plus anciens. Le paradoxe de l ‘état de santé est que l’espérance de vie reste globalement stable, ce qui est trompeur, mais que l’espérance de vie en bonne santé par contre diminue laissant ainsi peser le coût de ce maintien “artificiel” en vie sur nos sociétés déjà fragilisées par une pyramide des âges qui s’inverse. Problème de natalité ou de fertilité. Sur ce dernier point, des signes alarmant semblent indiquer, particulièrement pour les sociétés occidentales, que la crainte qui a émergée dans les années 60 d’une surpopulation hors de contrôle soit grandement exagérée. Nous sommes même plutôt en train de réaliser avec effroi que c’est l’inverse, une forme d’effondrement, qui comme disait Oscar Wilde au tribunal à propos de sa ruine :
“ Lentement au début, très vite à la fin”
Merci M Bru, un billet sur la baisse générale de la natalité ( de la fertilité aussi ) est en gestation. Ce sont des questions inconfortables qui méritent de la nuance dans leur approche, mais aussi de l'urgence si on veut éviter la chute vertigineuse qui se profile. Aurait-on atteint "Les Limites à la croissance" ? Ceux qui se félicitent de cet état devraient se méfier des effets de 2ème et 3ème ordre qui l'accompagnent. Amitiés
Oui, « on mérite mieux » est faite pour nous les patients, en vérité nous cherchons cette approche différente…pendant ma thérapie assez lourde, traditionnelle pour un cancer du sein, je passais mon temps à explorer tout ce qui aiderait à guérir différemment. Certains médecins déplorent à juste titre que seuls les symptômes sont pris en compte pour définir une thérapie, les causes sont ignorées, le résultat est que le nombre de patients augmente…
Et puis ce témoignage d’une ostéopathe Canadienne il y’a déjà une dizaine d’années, la quarantaine, mère de 4 enfants, cancer du sein triple négatif. Elle accepte la chirurgie puis se tourne vers la thérapie du dr Gerson… dont j’ai commandé le livre de recettes ainsi que celui où il relate des cas, dossiers à l’appui. Elle se rendra sur place, à Tijuana, pour 2 semaines. Elle guérit et laisse un commentaire « guérir son cancer » . Approche différente, un reset de notre organisme..? Un grand merci pour vos lettres
Merci à vous pour votr lecture et commentaire.