Félicitations Docteur pour votre article,il est à la fois informatif et captivant et vous arrivez toujours à rendre le sujet accessible,tout en apportant des informations très pertinentes.
Bonjour, encore une très belle analyse, riche d'enseignements et très exhaustive, merci !
Plutôt que de centrer sur le "Comment entretenir ou faire progresser le taux de Testostérone", j'aurais envie de poser le point du "Pourquoi". Ne serait il pas enfin temps d'accepter ce que Dame Nature vient porter? Faut-il "à tous prix" revendiquer meilleurs dosages de testostérone ou plutôt s'apaiser en accueillant simplement et positivement ce qui doit être. Il suffit simplement de modifier l'angle de vue, se dire peut-être que la diminution progressive de cette hormone pourrait s'entendre comme un juste retour à notre part d'enfant ou l'acceptation d'un renoncement plutôt logique à la procréation. A chaque âge ses étapes et ses missions. Quel besoin d'artifice pour être plusssss, plus viril, plus Mâle, plus fort, plus puissant ? A vouloir trop se fondre dans une masse de diktats, l'homme finit pas s'égarer et se perdre à lui-même ... on ne va plus à la salle de sport pour entretenir sa santé, on court les tapis et on soulève des poids pour correspondre à des clichés de Bonheurs grégaires...plus rien ou très peu est raisonné...il en est ainsi de beaucoup de sujets bien malheureusement...Aujourd'hui la femme de 60 ans veut en paraitre 40, celle de 50 ans veut encore enfanter, la féministe rejette la galanterie masculine et l'écriture devient inclusive au point d'imposer la réécriture de classiques qui perdent leur sens...et si tout simplement, on s'acceptait ...comme on est ...
Merci Dr pour cet article très intéressant. Pour ma part, j'aimerai proposer à des spécialistes, médecins et scientifiques, de faire des recherches sur le lien entre testostérone et marijuana. Infirmière, célibataire et voyageuse (6 ans de voyages en solo avec mon sac à dos sur plusieurs continents), j'ai constaté des problèmes d'érection (pas ou peu d'érection, maintien très difficile si il y en a), quantité misérable d'éjaculat (je ne sais pas si ça se dit ainsi) et libido maintenu mais moins long et moins souvent chez les fumeurs réguliers de zamal. Même chez ceux qui avaient arrêté depuis plusieurs années mais qui en consommaient soit en quantité soit très régulièrement, soit les 2. Chez les non utilisateurs de weed, même s'ils fumaient du tabac ou buvaient un peu d'alcool, tout fonctionnait normalement. Chez les autres, fumeurs réguliers depuis l'adolescence voire la fin de l'enfance, j'ai pu constater qu'ils ne voyaient pas leurs problèmes sexuels (érection, libido) n'ayant connu que ce fonctionnement depuis leurs 1ères expériences sexuelles. Je serai curieuse de connaitre les résultats si une étude corrélait taux de testostérone et zamal.
Félicitations Docteur pour votre article,il est à la fois informatif et captivant et vous arrivez toujours à rendre le sujet accessible,tout en apportant des informations très pertinentes.
Bravo pour ce travail !
Article très intéressant
Merci
Excellent comme souvent Doc !
Bien mené, facile à lire tout en étant évidence based, et bien inconographie !
Bravo
Bonjour, encore une très belle analyse, riche d'enseignements et très exhaustive, merci !
Plutôt que de centrer sur le "Comment entretenir ou faire progresser le taux de Testostérone", j'aurais envie de poser le point du "Pourquoi". Ne serait il pas enfin temps d'accepter ce que Dame Nature vient porter? Faut-il "à tous prix" revendiquer meilleurs dosages de testostérone ou plutôt s'apaiser en accueillant simplement et positivement ce qui doit être. Il suffit simplement de modifier l'angle de vue, se dire peut-être que la diminution progressive de cette hormone pourrait s'entendre comme un juste retour à notre part d'enfant ou l'acceptation d'un renoncement plutôt logique à la procréation. A chaque âge ses étapes et ses missions. Quel besoin d'artifice pour être plusssss, plus viril, plus Mâle, plus fort, plus puissant ? A vouloir trop se fondre dans une masse de diktats, l'homme finit pas s'égarer et se perdre à lui-même ... on ne va plus à la salle de sport pour entretenir sa santé, on court les tapis et on soulève des poids pour correspondre à des clichés de Bonheurs grégaires...plus rien ou très peu est raisonné...il en est ainsi de beaucoup de sujets bien malheureusement...Aujourd'hui la femme de 60 ans veut en paraitre 40, celle de 50 ans veut encore enfanter, la féministe rejette la galanterie masculine et l'écriture devient inclusive au point d'imposer la réécriture de classiques qui perdent leur sens...et si tout simplement, on s'acceptait ...comme on est ...
Merci Dr pour cet article très intéressant. Pour ma part, j'aimerai proposer à des spécialistes, médecins et scientifiques, de faire des recherches sur le lien entre testostérone et marijuana. Infirmière, célibataire et voyageuse (6 ans de voyages en solo avec mon sac à dos sur plusieurs continents), j'ai constaté des problèmes d'érection (pas ou peu d'érection, maintien très difficile si il y en a), quantité misérable d'éjaculat (je ne sais pas si ça se dit ainsi) et libido maintenu mais moins long et moins souvent chez les fumeurs réguliers de zamal. Même chez ceux qui avaient arrêté depuis plusieurs années mais qui en consommaient soit en quantité soit très régulièrement, soit les 2. Chez les non utilisateurs de weed, même s'ils fumaient du tabac ou buvaient un peu d'alcool, tout fonctionnait normalement. Chez les autres, fumeurs réguliers depuis l'adolescence voire la fin de l'enfance, j'ai pu constater qu'ils ne voyaient pas leurs problèmes sexuels (érection, libido) n'ayant connu que ce fonctionnement depuis leurs 1ères expériences sexuelles. Je serai curieuse de connaitre les résultats si une étude corrélait taux de testostérone et zamal.
Toujours aussi JUSTE Doc !
Merci pour les précisions, la balance Bénéfices/Risques n'est pas toujours abordée auprès des patients, souvent impatients !!
On "veut à tout prix"...et on s'étonne ensuite que le "prix à payer" soit trop élevé !!!